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Ils
ont dit
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- Cyril
Di Méo, conseiller
municipal Vert, membre du collectif aixois pour le "oui".
(La Provence du 31 mai 2005) :
«Quand j'entends chanter l'Internationale devant la
mairie, je me dis : vivement qu'il y ait une gauche
moderne en France».
- Obi-Wan
Kenobi, Star Wars
- Revenge of the Sith :
" Anakin, tu as un plan
B ?"
- Olivier
Duhamel, dans une
interview accordée au quotidien suisse La Tribune
de Genève (11 mai 2005)
:
«J'ai l'impression de vivre dans un pays en voie
de régression bolchevique», déclare l'ancien député européen
dans une interview accordée au quotidien suisse
La Tribune de Genève.
- Jack
Lang, sur RTL (6 avril 2005)
:
« Jean-Luc
Mélenchon devrait abandonner sa propagande
démagogique, il a un devoir de vérité et
d'honnêteté intellectuelle" puis "la
France risque de perdre les Jeux Olympiques de 2012 si
elle s'aventure à voter "non" »
- Lionel
Jospin dans un tract
de sa section
du 18ème
arrondissement de Paris :
« Voter non ne
provoquerait pas un drame mais seulement un affaiblissement
de notre
position en Europe ».
- Selon François
Bayrou (2 avril 2005, Le Monde) en cas de victoire
du
non :
« Je
vous le dis de toutes mes fibres, il pleuvra pendant
quarante
jours ! »
- Pascal
Lamy (1er avril
2005, Figaro) :
«
Il faut que le débat devienne sérieux.
J'ai un peu le sentiment de voir une
famille où les parents sont énervés.
Le premier enfant qui passe à portée
de main reçoit une baffe. Aujourd'hui, le
premier enfant qui passe, c'est
l'Europe. Nous sommes dans la théorie de la baffe absurde ! »
- Tony
Blair à la Chambre des communes (1er avril 2005)
« Répondant à une
question d'un député conservateur
raillant les prétentions du président
français,
le premier ministre britannique
a affirmé que "la Constitution européenne
fait campagne pour la directive sur
les services. C'est un bon argument pour voter pour".
(Le Monde du 6 avril 2005)
- Henri
Gibrayel (avant le meeting du 31 mars à Marseille),
conseiller général socialiste et élu
dans un quartier du nord de la cité phocéenne
:
« La campagne pour le oui, c'est un diesel qui
ne démarre pas »
-
Jacques
Barrot, 30 mars 2005 à Lyon (AFP) :
« Alors moi
je suis malade à l'idée que ce pays de référence
(la France) pourrait devenir un pays de déviants.»
- Jacques
Chirac (30 mars 2005)
:
« La
sauvegarde de notre modèle social suppose
de répondre "oui" au
traité constitutionnel »
- Jean-Pierre
Raffarin à Lyon le 30 mars 2005
(Le Monde du 1er avril) :
«... parfois, le
oui simpliste est plus efficace que le non complexe ». «et
reciproquement»
- Michel
Barnier (Le Monde 30 mars 2005) :
« Je passe sur le hooliganisme
verbal allant jusqu'à comparer l'approbation
de la Constitution européenne à la collaboration
pétainiste. Il donne la mesure de la violence
que s'autorisent les thuriféraires du non. [...]
Je reconnais cependant qu'il faut un certain cran pour
appeler à la crise salutaire, comme jadis à la "bonne
guerre".»
- Alain
Madelin (Le Figaro du 26
mars 2005) :
« On
peut certes vouloir une Europe sociale, mais l'Europe
sociale antilibérale
n'existe pas.»
- Christian
Clavier à propos
de Nicolas Sarkozy et François Hollande (« Vivement
Dimanche» sur France 2, le 27 mars 2005) :
« Nicolas
et François
gagnent peu d'argent, malgré de très grandes
compétences.»
- Le
député européen
Vincent Peillon (Marianne
du 26 mars 2005) :
« Hollande était
un homme sans ennemi, mais, ces temps-ci, il s'applique
quotidiennement à s'en
faire de nouveaux »
- Henri
Emannuelli à propos du comité jet-set
pour le oui de Jack Lang (Marianne du 26 mars 2005)
:
« C'est le comité Le Quesnoy. On va
tâcher
avec les français de former le comité Groseille »
-
Yves
Simon à propos
de la couverture de Paris-Match du 17 mars 2005 (Marianne
du 26 mars
2005) :
«
Ils sont habillés comme des jumeaux, deux
costumes à rayures,
deux cravates saphir, deux chemises bleu ciel.
ils sourient comme deux forces tranquilles. C'est
comme s'ils s'étaient
choisis»
-
Denis
MacShane, ministre britannique des affaires
européenne,
à Bordeaux (jeudi 24 mars) :
« Devant des étudiants
de l'Institut des hautes
études économiques et commerciales, le
ministre s'est soudain emporté, en
français, contre «les réactionnaires,
les néo-conservateurs, les
néo-communistes, les néo-cons qui tentent
de vous persuader que voter non au
traité est une bonne chose !». (Le
Monde des 27-28 mars 2005)
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